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Château Grivière

2016

Comment parler d’un millésime fabuleux quand il suit un autre millésime fabuleux ? Cela dit, pour nous, le 2016 est encore meilleur que le 2015. Sa couleur est superbe, les arômes et les tanins se sont libérés sans effort et le vin est magnifiquement équilibré.
Le débourrement a eu lieu fin mars, après un hiver très doux. Le printemps a ensuite été pluvieux, voire très pluvieux, mais la floraison a profité d’un court épisode de beau temps en juin. Le temps très sec qui s’est installé en juillet et qui a duré jusqu’à la mi-septembre a donné aux raisins une concentration remarquable en couleur et en tanins. Les pluies sont arrivées juste au bon moment pour accélérer la maturation et ont permis une récolte sans stress. Nous avons commencé à cueillir les merlots le 6 octobre, les derniers cabernets ont été ramassés le 21. Devant l’opulence des vins, nous avons choisi d’augmenter le pourcentage de bois neuf et la durée de l’élevage en barriques. Les vins y ont séjourné 16 mois au lieu de 12 habituellement. Le 2016 a la noblesse tranquille des grands vins sûrs de leur charme et de leur puissance. Il est mis en bouteille depuis mars 2019.

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2015

Pour décrire le millésime 2015, nous pouvons dire qu’il assemble le fruité du 2005, le corps du 2009 et les tanins profonds du 2010.

L’hiver, sensiblement plus froid que les précédents, a entraîné une floraison tardive mais rapide et homogène grâce au printemps sec et lumineux.

Une succession de semaines très chaudes, ensoleillées et sèches en juin et juillet ont contribué à façonner le millésime 2015 à Bordeaux. Août restera quant à lui dans l’histoire comme l’un des plus humides jamais enregistrés, avant le retour d’un mois de septembre radieux. La récolte des merlots a commencé le 21 septembre et nous avons cueilli les derniers raisins le 9 octobre. Les fermentations ont été régulières et les petits grains à la peau épaisse ont libéré de superbes tanins mûrs et concentrés. Nous avons choisi un élevage long sur 30 mois pour affiner cette structure magnifique. Il en résulte un millésime très opulent, d’une grande profondeur et d’une grande complexité. Il a été mis en bouteille en mai 2018 et certains distributeurs, en particulier aux États-Unis, l’aiment déjà tellement que nous allons ouvrir sa commercialisation en 2019.

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2014

Aux premières heures du lundi 9 juin 2014, un orage de grêle a traversé le vignoble. Nous avons perdu 80% de la récolte. Fin septembre, nous avons finalement décidé de ne pas récolter les raisins restants et nous n’avons donc pas produit de millésime 2014.

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2013

L’année 2013 nous a gratifiés de merveilleux cabernets, compensant des merlots récoltés un peu tôt. Sans parler d’un millésime fabuleux, une sélection très stricte nous a permis de produire un vin bien équilibré, pour le vin de tous les jours. Les températures particulièrement fraîches à la fin de l’hiver et au printemps ont retardé la croissance. La floraison est arrivée avec 12 jours de retard sur la moyenne, et sous la pluie qui a perturbé la nouaison. La sécheresse estivale a été une délivrance, juillet a été le plus chaud jamais enregistré en 60 ans. Les grappes, peu nombreuses et plutôt petites ont pu ainsi évoluer favorablement. Le temps chaud et humide de septembre a fait craindre le botrytis mais nous avons choisi d’attendre le 1er octobre pour récolter les premiers merlots et nous avons vendangé à notre rythme jusqu’au 18 octobre pour profiter des derniers jours de beau temps. Les tris drastiques au vignoble et au chai ont fait des merveilles. Ce ne sera évidemment pas un millésime de longue garde mais nous le commercialiserons en 2019/2020, car il révèle déjà de très jolies notes de fruits rouges. Nous pensons qu’il sera parfait à boire entre 2019 et 2025.

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2012

Nous décrivons souvent le millésime 2012 comme délicat, équilibré et raffiné.

Relativement peu de pluies sont tombées au cours des cinq mois d’hiver et les températures ont été clémentes, à l’exception de la glaciale première quinzaine de février.  Le débourrement a été enregistré au 5 avril, mois au demeurant très humide. Un mois de juin pluvieux mais doux a laissé place à des mois de juillet et d’août très secs, assurant une maturation lente. Le temps a changé dès les premiers jours de l’automne: des pluies modérées mais régulières se sont mises à tomber à partir du 20 septembre. Fort heureusement, elles sont arrivées trop tard pour perturber gravement la maturation ou la santé des raisins. Les vendanges se sont déroulées du 8 octobre au 18 octobre, avec un peu plus de pluie que nous ne l’aurions souhaité. L’état sanitaire de la vigne a cependant été préservé. Les merlots se sont révélés moins expressifs que les cabernets lors de la fermentation, mais lors de l’assemblage final, nous avons été agréablement surpris par leurs notes florales. Nous prévoyons de commercialiser le millésime dès 2019.

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2011

Après deux millésimes bénis des dieux, auxquels la nature a donné exactement ce qu’il fallait, quand il le fallait, l’année 2011 a produit un vin charmeur, agréable, à boire plus jeune. L’année a été étrange côté météo: nous avons eu l’été au printemps, l’automne en été, le printemps en automne. Un début d’année chaud a déclenché un débourrement précoce et une floraison en avance de deux semaines par rapport à 2010. Dès le mois d’avril, une période de sécheresse s’est installée avec un ensoleillement important et des températures supérieures de 6 °C à la moyenne de saison. La floraison était terminée le 17 mai. C’est la floraison la plus précoce jamais enregistrée. À partir de la deuxième semaine de juin, le temps a commencé à changer et l’été a pratiquement disparu en juillet, avec de faibles niveaux d’ensoleillement, des températures fraîches et un mois d’août maussade. En septembre, le beau temps est revenu pour les vendanges, avec quelques pluies éparses. Nous avons attaqué les vendanges le 15 septembre avec plus de 2 semaines d’avance sur les millésimes précédents. Nous les avons clôturées le 30 septembre. Le 2011 est un vin rond et charmant, aux arômes floraux pleins d’élégance. La bouche est très fruitée et ses tanins souples et délicieux.

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2010

En 2010, un autre millésime du siècle, dans la foulée du 2009. Ce millésime présente une robe de velours d’une densité incroyable, une explosion de fruits et d’épices et des tanins nobles, riches et soyeux.

Après un automne 2009 très doux, les premiers mois de 2010 ont été particulièrement froids et secs. Le débourrement a été retardé jusqu’à la mi-avril et la floraison a été laborieuse, en raison d’une première quinzaine fraiche en juin. En été, les racines de la vigne sont allées chercher en profondeur l’eau qui manquait en surface et les raisins n’ont pas souffert de la sécheresse.

Tous les ingrédients d’un grand millésime ont été réunis: des températures douces aux mois de juillet et d’août, des mois de septembre et octobre ensoleillés et juste assez de pluie pour parfaire l’équilibre des fruits. Les merlots ont été vendangés du 7 au 13 octobre, les cabernets francs le 14 octobre et les cabernets sauvignons du 15 au 21 octobre. Dans le cuvier, des arômes de framboise et de cerise noire ont empli l’air lors des remontages et une fermentation lente a permis une extraction très douce des couleurs et des tanins. La couleur du millésime 2010 est d’une intensité fabuleuse, le nez est incroyablement expressif, pur et aromatique. En bouche, la structure est de toute première élégance et le vin révèle de belles notes de baies noires.

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2009

Jusque-là, le millésime 2005 était le millésime de notre vie. Puis 2009 est arrivé et nous a ébloui par sa perfection dès ses premiers pas. Il a la plénitude du 2005 et la douceur du 1990.

Dès le départ, 2009 est né sous les meilleurs auspices, avec des températures légèrement au-dessus de la moyenne et 220 heures d’ensoleillement pendant la phase de croissance. Un mois d’avril doux mais pluvieux a légèrement nuancé nos prévisions mais le retour du beau temps en mai a permis une floraison rapide et homogène jusqu’au début du mois de juin. L’été s’est avéré extrêmement chaud avec un ensoleillement constant : 293 heures de soleil en juin, 262h en juillet et 270h en août. La véraison et la floraison ont été uniformes malgré nos inquiétudes face au manque d’eau: seulement 48 mm de pluie sur la période, contre une moyenne de 90 mm sur les 30 dernières années. La vendange a commencé le 1er octobre et nous avons ramassé les derniers cabernets le 22 octobre. Les arômes dans le chai étaient divins et lors de la fermentation, des extractions douces ont été suffisantes pour obtenir une brillante couleur rouge rubis et des tanins à la texture soyeuse.

Le 2009 possède maintenant une extraordinaire intensité aromatique, fraîche et précise. Il est riche, mûr et minéral avec une finale longue et persistante.

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2008

Ce millésime 2008 nous rappelle la profondeur et le charme du 2004.

En début de saison, un mois de mars terne, humide et orageux a entraîné un débourrement lent et inégal. Après un mois de mai maussade (le deuxième le plus humide depuis 1946) et une floraison hétérogène, sans surprise des grappes irrégulières se sont développées. Heureusement, le temps sec et ensoleillé de juillet a permis de sélectionner les plus jolis raisins. Le mois d’août a été frais avec quelques pluies avant le retour d’un véritable temps estival le 25. De mi-septembre à mi-octobre, les brises chaudes de l’Atlantique ont accéléré la maturation, tout en préservant la santé des raisins. En septembre, une amplitude thermique remarquable entre le jour et la nuit a conduit à une synthèse très rapide des composés phénoliques dans les grappes. Les merlots ont été récoltés du 6 au 13 octobre et les cabernets du 11 au 17 octobre. Le 2008 a mis plus de temps à évoluer que la plupart des millésimes. Une grande partie du vin est restée en cave jusqu’en 2015, pour que les tanins s’adoucissent et que naisse un vin très classique après ce long et profond sommeil.

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2007

Après un mois de février très doux, le débourrement est arrivé 10 jours en avance, fin mars. Les températures sont montées en flèche en avril, le plus chaud depuis 1949, pour ensuite dégringoler en mai. La floraison a été tardive et laborieuse, avec sept jours de retard sur la moyenne. La pluie et le manque de soleil de mai ont perduré jusqu’en juillet, faisant peser une menace constante de maladie sur le vignoble. Dans la vigne, des travaux incessants ont été nécessaires pour maintenir des raisins sains et réduire les rendements en vue des vendanges. Bien que le mois d’août ait commencé chaud et bien ensoleillé, la pluie et des températures plus fraiches sont rapidement revenues, gonflant les raisins et créant une grande disparité de maturité entre les parcelles. Le 25 août, le soleil est enfin revenu pour ne plus nous quitter pendant 64 jours d’affilée. Nous avons débuté le 4 octobre et avons ramassé nos derniers cabernets, les plus mûrs, le 18. Le chai s’est empli de merveilleux arômes de fraise et de framboise. Nous avons incontestablement procédé à la sélection la plus rigoureuse de notre histoire pour produire un vin très agréable qui a parfaitement résisté au temps.

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2006

2006 est un millésime très délicat, ayant connu une météo très variable du début à la fin. Un hiver froid et assez humide – bienvenu après la saison 2005 – a fait place à un temps sec, du printemps jusqu’au milieu de l’été. En début de saison, les fortes pluies de mars ont été un soulagement mais elles ont retardé le débourrement. Les bourgeons des merlots ne se sont ouverts que début avril, comme en 2000. Le mois de juin, chaud et sec, a permis une floraison très rapide des merlots comme des cabernets, au même moment. L’été a été marqué par une longue vague de chaleur caniculaire en juillet. La véraison a eu lieu 2 à 3 jours plus tôt qu’en 2005 et 10 jours plus tôt qu’en 2000 et 2004. S’en est suivi un mois de septembre au contraire extrêmement arrosé qui nous a contraints à interrompre les vendanges et nous a causé quelques nuits blanches.

Les vendanges se sont déroulées du 25 septembre au 10 octobre.

Malgré les difficultés, le 2006 a la richesse du millésime 1986 et la grâce et la pureté du 1996.

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2005

Difficile de trouver une autre année qui fasse autant l’unanimité en primeur. Même les millésimes de référence tels que 1989, 1990 et 2000 n’ont pas reçu de telles louanges à leur sortie. La volupté et l’harmonie sont la marque d’un millésime vraiment exceptionnel. Jamais des raisins n’ont été si parfaits, à l’issue d’une saison chaude et ensoleillée, sans excès. Les nuits fraîches d’août et septembre ont gardé l’acidité et l’équilibre des raisins. Les vins sont à la fois très mûrs et d’une fraîcheur remarquable. En d’autres termes, les vins présentent une profusion d’arômes de fruits mûrs et de tanins doux, associés à une acidité élevée. Il n’existe pas de scénario plus parfait! Le début des vendanges a été progressivement décalé au 29 septembre. Le fruité des jeunes merlots nous a très vite impressionnés. Les rendements ont été faibles et les raisins d’une concentration exceptionnelle. Nous avons patiemment attendu que les cabernets soient complètement mûrs et nous avons cueilli les derniers raisins le 18 octobre. La fermentation a été effectuée à une température plus basse que d’habitude et les cuves ont nécessité moins d’intervention qu’à l’ordinaire, pour extraire couleur et tanins. Nous pensons qu’il s’agit du meilleur millésime que nous avions produit jusque-là sur le vignoble.

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2004

Largement considéré comme un millésime dans le style classique des 1996 et 1988, notre millésime 2004 s’est révélé frais, pur et bien structuré pour une garde de moyen à long terme. La croissance de la vigne s’est faite au rythme de périodes tour à tour humides et sèches, avec une heureuse coïncidence des périodes sèches avec la floraison et les vendanges. La qualité de ce millésime, ainsi que le retour à des niveaux de production normaux, est dû à une excellente floraison, régulière et rapide qui a eu lieu sous un climat exceptionnel de la fin mai au début de juin. Nous avions les bases d’une récolte généreuse et d’une maturité homogène en fin de saison. Cependant, le mois d’août fut particulièrement pluvieux, entrainant une morosité généralisée quant aux perspectives du millésime. Le miracle s’est produit en septembre avec le retour du beau temps et les raisins ont pu achever leur maturité. La récolte des merlots a commencé un peu plus tard que d’habitude, le 4 octobre. Les Cabernets ont fermé la marche et nous avons terminé la récolte le 18. Les fermentations lentes ont permis de bien identifier la personnalité de chaque parcelle et d’adapter la vinification en conséquence. Une vinification de rêve pour un winemaker. Dans chaque bouteille de 2004 se révèle une grande finesse et un nez subtil combinant des arômes de fleurs, de fruits et d’épices.

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2003

Pour tous, 2003 restera l’année de la canicule, produisant un vin d’une densité inégalée avec une puissance, une profondeur, une longueur et des tanins merveilleusement soyeux.

La vigne, grâce à son enracinement profond, a moins souffert que d’autres cultures de cette chaleur torride. Quelques raisins ont pourtant été brûlés par le soleil ardent du mois d’août. Les températures nocturnes élevées perturbent la synthèse des polyphénols alors que par ailleurs les concentrations en sucres augmentent rapidement. Tous nos repères habituels sont balayés. La hiérarchie entre les parcelles est bousculée. Il faut tout réinventer : le moment optimal de récolte, l’ordre de vendange, quelles parcelles vendanger ensemble. L’observation des parcelles et la dégustation des raisins seront nos seuls guides. Puis 30 mm tombent en trois jours début septembre et débloquent la situation. Nous avons rempli les premières cuves le 10 septembre. Compte tenu des températures élevées, nous avons décidé de ne récolter que le matin. Les rendements sont très faibles et les raisins naturellement très concentrés. Nous avons vendangé à un rythme particulièrement lent jusqu’au 2 octobre. Des fermentations longues ont permis de parfaitement maîtriser l’extraction. Au final une saison éprouvante face à des situations inconnues pour un vin magnifique, très rond et très charmeur.

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2002

L’année 2002 a donné une petite récolte de vins très élégants, bien structurés et de très bon niveau. Il leur aura fallu toutefois un long séjour en cave pour leur permettre d’atteindre leur apogée. Le printemps doux et relativement sec fut suivi d’un été frais, pour terminer par un mois d’août assez pluvieux. La floraison en a été assez perturbée, en particulier les merlots, plus précoces et sensibles à la coulure. Cependant un magnifique été indien en septembre et octobre a sauvé le millésime. Jour après jour, les raisins se sont gorgés de sucres et d’arômes, et les tanins, d’abord un peu durs, se sont assouplis. La récolte 2002 a été la plus faible depuis 1991 mais sa qualité est indiscutable. Nous avons commencé les vendanges le 3 octobre et les dernières parcelles de Cabernet Sauvignon ont été ramassées 9 jours plus tard. Le potentiel polyphénolique s’est révélé impressionnant. Le laboratoire d’analyses a d’ailleurs dû modifier son échelle d’évaluation car les niveaux d’anthocyanes ont crevé les plafonds. Les jus étaient presque noirs et les saveurs de fruits confiturés déjà remarquables. Les merlots se sont révélés particulièrement aromatiques et les cabernets sauvignons et francs exceptionnels. Le millésime est superbe: riche, puissant et harmonieux avec toute l’élégance tannique des cabernets.

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2001

Le millésime 2001 nous rappelle le 1999, pour ses arômes expressifs et ses tanins denses et harmonieux. L’hiver précédent a été le plus humide depuis 1982/83. Mai et juin ont été plutôt secs, déclenchant une floraison précoce mais rapide et uniforme. Juillet a commencé avec la pluie et des températures plutôt fraiches, avant que l’été reprenne ses droits. Août a été chaud, avec des précipitations moyennes pour la saison. Quant à septembre, il a été plutôt frais, offrant d’excellentes conditions pour la maturation des raisins qui était parfaite dès le début des vendanges. Ce sont les jeunes plants de Merlot qui ont ouvert le bal, le 2 octobre. Le plus gros des vendanges s’est déroulé du 5 au 12 octobre. Durant cette période, les journées ont été très belles, les rares pluies ayant la bonne idée de tomber plutôt de nuit. Dès les premiers jours de la vinification, nous avons été agréablement surpris de la couleur profonde des moûts alors même que les extractions ont été particulièrement douces.

Il n’est pas facile de prendre la suite d’un millésime comme le 2000 mais le 2001 relève le défi et ravira nos palais de nombreuses années encore.

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2000

En 2000, la saison viticole fut assez complexe et nous étions loin de penser que nous avions entre nos mains l’un des plus grands millésimes du XXe siècle. Le début d’année et le printemps ont été particulièrement doux, entrainant un débourrement précoce.

Avec la douceur qui s’est poursuivie en avril et mai, la pluie s’est invitée et la floraison n’a débuté qu’à la fin du mois de mai. L’humidité s’est prolongée en juin et en juillet. Fort heureusement, aout et septembre ont bénéficié temps sec et d’un ensoleillement quasi ininterrompu. Ce soleil a donné aux merlots d’excellentes maturités. Les Cabernet Sauvignon ont muri en toute fin de saison, pour ceux qui ont été suffisamment patients. Nous avons vendangé en premier lieu les plus vieux merlots à partir du 25 septembre, et nous avons récolté la dernière parcelle le 12 octobre, attendant ainsi que les Cabernets soient complètement mûrs. La fermentation s’est faite en douceur et la macération a duré trois semaines. Avec une élégance et une souplesse en bouche rappelant les millésimes 1990 et 1996, le millésime 2000 est l’un de nos plus grands millésimes.

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2016

Note de dégustation

Magnifique couleur rubis profonde avec des reflets violets. Nez de réglisse et de violette enveloppés d’arômes classiques de fruits noirs. Volumineux, palais mou. Les tanins sont bien intégrés, montrant beaucoup de caractère, mais sans agressivité et sous-jacent de beaux fruits. En un mot : Élégance.

Accords mets et vins

**Entrée**

Rillettes de porc aux épices
Effiloché de poulet en salade, vinaigrette de sésame pimentée

**Plat**

Ris de veau croustillant aux herbes à tortue, carottes, gingembre-orange
Agneau du Pays d’Oc sarriette, aubergine, épaule en pastilla
Côte de veau de Dordogne morilles crémées, amandes, oseille
Volaille de Bresse en croûte de foin, artichauts violets condimentés

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2015

Note de dégustation

Rouge Grenat violacé. Notes des chocolat, caramel et réglisse. Attaque fine, fruitée. Le corps est légèrement crémeux et dispose de tannins bien intégrés. La structure tient le fruit et octroie un peu de fraîcheur. Un vin déjà très accessible. Il fera plaisir dans sa jeunesse.

Accords mets et vins

**Entrée**

Demi aubergine bio grillée au miso doux
Ham hock, lardo, piccalilli & mace

**Plat**

Foie gras de canard cuit au torchon, épices de Massala avec Rhubarbe fondante à la chartreuse
Râble de lapin farci aux shitakés et foie gras
Bœuf Wagyu chilien sauté au poivre noir
Canard de Challans aux épices, fenouil, sauce à l’orange

Château Grivière

2014

Note de dégustation

Accords mets et vins

**Entrée**

**Plat**

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2013

Note de dégustation

Rouge rubis moyen, reflets violets. Bouquet élégant avec une belle symbiose entre le bois et le fruit. Notes de fruits rouges, touche végétale agréable. Attaque légère, fruitée et rafraichissante. Corps léger, juteux, équilibré. A boire.

Accords mets et vins

**Entrée**

Terrine de lapin, volaille et porc aux herbes.
Salade de bœuf finement tranché et poché, vinaigrette de sésame.

**Plat**

Epaule d’agneau de lait, Tian de légumes, oignons doux caramélisés
Côte de veau de lait, champignons boutons, pommes grenailles, jus corsé truffé
Noix de ris de veau dorée, glacée au jus de crustacé, fricassée de coques à l’aïoli, purée d’oignon de Cévennes
Carré d’agneau rôti en croûte aux légumes du midi, jus à la sarriette

Château Grivière

2012

Note de dégustation

La robe très sombre navigue entre le pourpre et le rubis.
Le bouquet concentré de prune, de compote de cerises, d’épices douces est souligné d’une note torréfiée en contrepoint.
La bouche est fraîche, ronde et charnue sur un tanin soyeux et un boisé fondu. Les arômes complexes s’entremêlent et un joli fruit bien mûr parfume la finale.

Accords mets et vins

**Entrée**

Tartare de bœuf assaisonné, chips de légumes et coulis de piment d’Espelette
Pâté en croûte de cochon de lait, foie gras et ris de veau

**Plat**

Entrecôte de bœuf de tradition française grillée à la plancha
Côte de veau de tradition française cuisinée au verjus
Le véritable cassoulet Montalbanais
Canette fermière du Sud-Ouest, cuisse confite croustillante, et anchois au sel

Château Grivière

2011

Note de dégustation 

Robe pourpre aux reflets éclatants ; nez fin de fruits rouges mûrs, mariés à des notes épicées et balsamiques. La texture du vin est charnue, alliant équilibre et plénitude. Belle finale longue.

Accords mets et vins

**Entrée**

Tartare de bœuf Charolais Coupé au couteau, condiments, pain toasté
Le Foie-gras de Canard mi-cuit à l’Armagnac

**Plat**

Millefeuille de joue de bœuf et artichauts, Barigoules aux agrumes
Entrecôte de veau de lait au verjus, légumes parfumés à la sarriette
Pigeon des landes cuit en feuilleté, sauce salmis
Noix de ris de veau braisée au Vin rouge, Barigoule d’artichauts violet

Château Grivière

2010

Note de dégustation 

Robe d’une fine brillance aux reflets rubis.
Le nez friand et croquant révèle de beaux arômes fruités fondus à de subtiles notes briochées.
L’attaque en bouche est plaine laissant s’épanouir au palais une chair tendre et ferme aux tanins bien fondus donnant un ensemble fin et élégant.

Accords mets et vins

**Entrée**

Gravlax de Magret de Canard, Rémoulade céleri et pomme noisette.
Foie Gras de canard poêlé avec légumes Printanier, crumble au Sarrasin.

**Plat**

Ballotine de Volaille avec farci Primavera.
Pigeon cuit sur coffre, croustillant d’abattis, betteraves et pain d’épices
Bœuf du Limousin maturé 50 jours, Grillé aux sarments de vigne, échalotes confites, Moutarde à l’ancienne et sauce à la Bordelaise
Bœuf Wellington Pomme purée, salade sucrine

Château Grivière

2009

Note de dégustation 

Robe brillante, pourpre sombre. Le nez s’ouvre sur les fruits sauvages (mûre, framboise), complétés par des notes minérales et une pointe d’herbes fraîches. Le fruité prédomine en bouche, porté par des tanins polis dans un bel équilibre savoureux.

Accords mets et vins

**Entrée**

Aubergine Confite, bouillon de Foie gras
Gnocchis pochés, ail des ours et Champignons

**Plat**

Foie Gras de Canard Aux épices, Crème de Foie gras, Feuille de Navet Croustillante
Bœuf d’Aubrac à la moëlle, asperges et oignons
Côtes d’agneau du Quercy aux pruneaux d’agen
Paume de ris de veau, bisque de homard

Château Grivière

2008

Note de dégustation

Le château Grivière 2008 offre une robe pourpre profonde.
Les arômes de fruits noirs mûre, myrtille, se marient à des nuances de violette dans un équilibre complexe.
En bouche l’attaque est dense et fraîche, la richesse des tanins enveloppe des arômes élégants et complexes à dominante fruitée évoluant vers une gamme plus épicée.

Accords mets et vins

**Entrée**

Bœuf juste saisi à la crème de foie gras, carottes à l’orange

Tartare de bœuf à l’italienne : bœuf haché, parmesan, huile d’olive, tomates confites

**Plat**

Veau fermier du Limousin cuit au sautoir, rillons aux petits pois et girolles, vrai jus

Cuisses de grenouilles poêlées, jus de cresson de fontaine, ail nouveau

Cochon de lait à l’huile de cendres, pomme à la braise, pommes de terre rouges de montagne

Agneau des Pyrénées rôti et frotté au piment d’Espelette, coco de Paimpol au jus tomaté

Château Grivière

2007

Note de dégustation 

Le vin séduit dès la robe grenat sombre à liseré violet. Le bouquet profond et complexe vient confirmer cette première impression : cassis, pain d’épice, pain grillé et cacao. L’attaque est savoureuse et la matière agréable, soutenue par des tanins charnus, se prolonge dans une finale empreinte de notes de fruits mûrs (prune, cerise noire).

Accords mets et vins

**Entrée**

Pâté en croûte de canard et légumes au vinaigre
Poêlée de cuisses de grenouille légèrement pimentées, petites girolles, quinoa toasté, roquette et cresson

**Plat**

Poitrine de pigeon rôti au miel épicé et sa cuisse confite, compotée d’oignon rouge
au vinaigre de Xérès
Carré d’agneau de lait en croûte persillée
Ris de veau en cocotte, morilles crémeuses
Selle de cochon de lait farcie d’une épaule confite, artichauts violets et céleri lardés, jus infusé à la poitrine fumée

Château Grivière

2006

Note de dégustation test

Robe rubis à reflets tuilés. Nez dominé par les fruits, fruits noirs mais aussi framboise.
Des notes de peau d’orange et d’épices douces se mêlent aux senteurs boisées pour apporter complexité et élégance.
En bouche, l’attaque est souple, bientôt suivie de tanins bien fondus tout en volume et velours.
On y retrouve la plénitude des fruits mûrs se prolongeant sur une longue finale légèrement épicée.

Accords mets et vins

**Entrée**

Escargots de Haute-Savoie
Fleur de courgette farcie

**Plat**

Filet de veau cuit au beurre noisette, Aubergine rôtie et confite, Jus concentré et vierge de condiments et pignons de pin grillés
Agneau Rôti à l’ail rose, câpres et citron, ratatouille
Pigeon fondant croquant
Le filet de bœuf de la ferme, mousseline de panais, cèpes bouchons et jus au vin Rouge

Château Grivière

2005

Note de dégustation 

Belle robe grenat sombre.
Le nez expressif de fruits cuits, prune rouge, cerise se double de notes fines de bois sec et de tabac blond.
La bouche ne déçoit pas, elle est ronde, gourmande, les tanins doux, bien fondus, satinés. L’ensemble présente une harmonie et un équilibre rares.

Accords mets et vins

**Entrée**

Pâté croute de lapin au poivre vert de Madagascar, carotte cloutée de chouchou de noisettes, pickles et gelée de la cuisson hachée
Carpaccio de bœuf, pistou et copeaux de brebis

**Plat**

Le Jambonneau demi-Sel au Porto et une Florentine d’Épinards
Carré d’Agneau à la Fleur de Thym, le jus nourri de Pulpe d’Ail doux, un Quinoa aux Raisins blonds
Quasi de Veau mijoté aux petits Oignons et carottes fondantes
Filet de Canard servi rosé, carottes mijotées au poivre, Jus corsé à la sauge et vinaigre de mangue

Château Grivière

2004

Note de dégustation 

Belle robe rubis aux reflets groseille.
Fruité (framboise-cassis), riche et droit au nez.
La bouche se révèle souple et équilibrée, la finale finement boisée. Les tannins denses mais fondus permettront aux amateurs de vins jeunes de le boire tôt. Les autres pourront attendre tranquillement son évolution en cave. À boire 2006-2016

Accords mets et vins

**Entrée**

Pâté en croûte de canard et légumes au vinaigre
Carottes confites en concentration d’eau de pomme de terre, rafraîchies à la lavande sauvage

**Plat**

Epaule d’agneau de lait, tian de légumes, oignons doux caramélisés
Côte de veau de lait, champignons boutons, pommes grenailles, jus corsé truffé
Noix de ris de veau dorée, glacée au jus de crustacé, fricassée de coques à l’aïoli, purée d’oignon des Cévennes
Carré d’agneau rôti en croûte aux légumes du midi, jus à la sarriette

Château Grivière

2003

Note de dégustation test

La robe très sombre navigue entre le pourpre et le rubis.
Le bouquet concentré de prune, de compote de cerises, d’épices douces est souligné d’une note torréfiée en contrepoint.
La bouche est fraîche, ronde et charnue sur un tanin soyeux et un boisé fondu. Les arômes complexes s’entremêlent et un joli fruit bien mûr parfume la finale.
Accords mets et vins

**Entrée**

Ravioles d’oursins et noisettes vinaigrées
Soupe tiède d’aubergines cuites entières au four, pommes fruits poêlées au romarin, chantilly de crevettes grises aux petits pois

**Plat**

Tranche de rôti de veau fermier cuite à basse température, dés de haricots au jus réduit
Bande de magret de canard poêlé, polenta du pays Basque, traces de groseille
Pavé de faux-filet de bœuf de race Normande maturé, laitue farcie de crème de carotte à l’huile d’argan
Pigeonneau Rôti en Cocotte Gousses d’Ail Confites en Chemise

Château Grivière

2003

Note de dégustation

La robe du château Grivière 2002 est d’une belle couleur grenat profond. Le nez frais et complexe de fruits noirs est entremêlé de vanille et d’élégantes notes boisées.
En bouche l’attaque est sensuelle et charnue suivie d’une trame tannique ferme et douce à la fois. On y retrouve les arômes de fruits noirs, doublés de fruits rouges et d’une pointe de fleurs d’acacia dans une finale longue de grande classe.

Accords mets et vins

**Entrée**

Pâté en croûte de canard, oignons doux et pommes acidulées
Carottes confites en concentration d’eau de pomme de terre, rafraîchies à la lavande sauvage

**Plat**

Côte de veau rôtie au beurre d’Espelette, palet de pommes fondantes et morilles en sauce
Magret sauce aigre douce, poêlée de légumes
Entrecôte de race Charolaise à l’échalote
Rognon de Veau cuit à la Cheminée

Château Grivière

2001

Note de dégustation

Le château Grivière 2001 présente une belle robe rubis à reflets grenat. Le nez délicatement boisé mêlé de fruits secs se développe à l’agitation sur des notes expressives de fruits des bois. La bouche, ample et charnue en attaque, se prolonge sur des arômes complexes de vanille, framboise, cerise. La finale épicée nous laisse une agréable chaleur.
Accords mets et vins

**Entrée**

Cuisses de grenouille en chapelure de persil, rôties au naturel coulis de cresson acidulé
Jambon Ibérique

**Plat**

Agneau aux épices, variation d’artichauts et carottes en croûte de sel
Filet mignon de veau et son jus, déclinaison de fleurs de courgettes et piquillos
Cochon de lait farci aux épices douces
Cuisse de volaille jaune, ravioles de foie gras, bouillon de poule parfumé à la verveine

Château Grivière

2000

Note de dégustation

Le château Grivière 2000 montre une belle robe pourpre aux reflets grenat. Le nez aux arômes délicats mélange la cerise, la myrtille, à des notes de tabac et de pain grillé. Des tanins serrés au grain fin structurent une bouche de fruits mûrs et d’épices. La finale est chaleureuse, marquée de foin et de poivre noir.

Accords mets et vins

**Entrée**

Carpaccio de bœuf, chimichurri, estragon
Terrine de Foie Gras Maison, Croque de Fruits et Confiture d’Oignons

**Plat**

Filet de Bœuf, mousse de Pomme de terre de Noirmoutier
Côte de Veau élevé sous la mère à partager, bonbons d’Oignons fourrés, légumes de saison
Magret de canard entier (IGP du Périgord), mousseline de pommes de terre et jus à la truffe
Pavé de Rumsteack Black Angus, frites maison et anchoïade

Château Grivière

2016

Revues de Presse
& Médailles

91-92 Points. 

A red with depth and structure. Full and chewy. Juicy and fruity. Lots of chocolate and walnut character. Shows potential. Better than the 2015.

James Suckling primeurs 2016

87-89 Points 

Ruby. Dark fruits, some spices, anise, blueberries nose. Fresh acidity, ripe tannins, fruity, red berries, some spices, dark berries, fairly juicy.

Christer Byklum - B My Bordeaux primeurs 2016

Guide Hachette * Edition 2020

88-90 Points 

ExtraPrima - Thomas BoxBerger
Château Grivière

2015

Revues de Presse
& Médailles

88 points

A successful cru bourgeois that will not be released for another year as it undergoes extended ageing in barrel and bottle. A soft, sweet take on the year, with good fruit if lacking a touch in impact.

Drinking Window 2018 – 2030

Decanter Jane Anson décembre 2017

90-91  Points

A fresh and fruity red with blueberry and blackberry aromas and a bright finish.

Jamessuckling.com primeurs 2015 avril 2016

16.5 Points 

Charming spice and vivid blackcurrant fruit on the nose. Chewy, substantial palate that matches the fruit intensity. Chunky, bold, flavourful. (RH) 13% Drink 2019-2025.

Jancisrobinson.com Crus Bourgeois 03/10/17 Jancis Robinson/Richard Hemming

Médailles d’Or Concours Général Agricole 2017

Château Grivière

2013

Revues de Presse
& Médailles

15.75/20 Points

Fine colour, good cassis fruit with ripeness and depth., Drink: 2016-2022

Decanter primeurs Steven Spurrier 2013

86-89 Points

Pure and focused, with a beam of red currant and Campari backed by a floral edge. The unadorned finish lets the elements play out nicely. —J.M.

Wine spectator primeurs 2013

87/100 Points

Rouge rubis moyen, reflets violets. Bouquet élégant avec une belle symbiose entre le bois et lefruit. Notes de fruits rouges, touche végétale agréable. Attaque légère, fruitée et rafraichissante. Corps léger, juteux, équilibré. A boire. Good glou-glou. Maintenant-2020

Yves Beck WEINWISSER Mars 2016

Médaille d’Or Challenge international du vin blaye 2018

Château Grivière

2012

Revues de Presse
& Médailles

15 Points

Nez boisé blond (vanille), épices douces, bouche ronde, savoureuse, assez longue, bonne tenue en longueur, tanins croquants, bon élevage en cours.

Le Point primeurs 2012

Médaille d’Or Citadelles du Vin 2016

Médaille d’Or Concours de Lyon 2016

Château Grivière

2011

Revues de Presse
& Médailles

15,5 Points Coup de cœur

Fruits rouges bien mûrs, frais, tendre, suave, joli fruit net, savoureux, tanins poudrés, veloutés, rond, très élégant, harmonieux, tout en finesse.

Le Point primeurs 2011

90 Points Editor’s choice

Wine Enthusiast May 2013

86 Points

Fresh, clean wine with blueberry and floral character, a medium body and a crisp finish. Better in 2015.

James Suckling –Février 2014

*

Très proche en qualité de La Cardonne, l’autre cru des Domaines CGR sélectionné dans ce chapitre. Un vin bien bouqueté autour des fruits frais et du moka, qui dévoile une matière ronde et généreuse (fruits à l’eau-de-vie), bien habillée par le bois. 2016-2020. Epaule d’agneau confite.

Guide Hachette 2015

Médaille d’Or Citadelles du Vin 2016

Château la Cardonne

2010

Revues de Presse
& Médailles

Médaille d’Or Concours de Lyon 2012

Château Grivière

2009

Revues de Presse
& Médailles

15.5 Points

Bright, dark crimson. Sweet and brilliant fruit on the front palate. Quite polished and attractive even if not desperately ambitious. Should provide good-value drinking.  Drink 2015-2022

Jancis Robinson 23 avril 2010

85/100 Points (Neal Martin)

Tasted at the Cru Bourgeois 2009 tasting in London. The Grivière 2009 has an innocuous bouquet that gains freshness and delineation with time : raspberry leaf, cedar and sous-bois. The palate is medium-bodied with grippy tannins that is not quite in synch with the fruit. Decent but not memorable. Tasted September 2011.

E-Robertparker décembre 2011

*** (very good)

Genussmagazin Selection avril 2014

Médaille d’Or Concours de Lyon 2015

Château Grivière

2008

Revues de Presse
& Médailles

Médaille d’Or Challenge international du vin Blaye 2012

Médaille d’Or Berliner Wein Trophy 2015

Médaille d’Or Asia Wine Trophy Daejeon 2015

Château Grivière

2007

Revues de Presse
& Médailles

15 points

***

Good colour, good supple flavours, nice balance for the short term. Drink 2010-14. (15 points)

Decanter.com primeurs 2007

** Coup de cœur

Si le Château La Cardonne est considéré comme le fleuron des Domaines CGR, Grivière est loin de jouer les seconds rôles comme le prouve ce coup de coeur, qui fait suite à celui obtenu pour le millésime 2000. Le merlot majoritaire (60%) planté sur argilo-calcaire semble avoir particulièrement réussi en 2007. Le vin séduit dès la robe grenat sombre à liseré violet. Le bouquet profond et complexe vient confirmer cette première impression : cassis, pain d’épice, pain grillé et cacao.

L’attaque est savoureuse et la matière agréable, soutenue par des tannins charnus, se prolonge dans une finale empreinte de notes de fruit mûrs (prune, cerise noir). Un vin à un bel avenir (cinq à six ans).

Guide Hachette 2011

Médaille d’Argent Concours des Grands Vins de France 2010

Château Grivière

2006

Revues de Presse
& Médailles

***

Quite light and fragrant, pretty Medoc with a nice touch of oak. 2009-14.

Decanter.com primeurs 2006

**

Enraciné dans une pente calcaire entre Caussan et La Cardonne, ce vignoble engendre régulièrement de belles cuvées. Le 2000 fut même coup de cœur. Derrière une teinte rouge rubis aux reflets violets, on découvre un bouquet aux charmeuses notes de grillé, de cerise confite et d’épices. Soyeuse en attaque, la bouche développe une chair aux tanins mûrs qui ne se départit jamais d’une agréable fraîcheur. Un vin fin et élégant à garder trois ou quatre ans, puis à ouvrir sur une poule faisane en cocotte.

Guide Hachette 2010

Médaille d’Argent Concours de Bordeaux Vins d’Aquitaine 2010

Médaille d’Argent Vinalies internationales

Château Grivière

2005

Revues de Presse
& Médailles

A bit tight, but some good fruit and fine tannins underneath it all. Slightly one-dimensional and short. Wait and see.-J.S.

Wine spectator.com primeurs 2005

*

Ce château tient son nom du lieu-dit La Rivière où il est situé. D’un rubis profond, son 2005 livre un nez fin encore sur la retenue, d’où s’échappent quelques notes fruitées et vanillées. L’attaque est souple, les tanins présents mais enrobés et la finale fraîche et agréable. On pourra commencer à profiter de ce vin dès 2010, en ayant soin de le décanter avant de le servir sur des noisettes d’agneau au caramel d’épices.

Guide Hachette 2008

Médaille d’Argent Feminalise 2013

Médaille d’Argent Concours International des Vins de Lyon 2013

Château Grivière

2004

Revues de Presse
& Médailles

15 points

***

Fine colour, fruity and supple with good clear Médoc fruit and good balance. Drink 2007-2012.

Decanter.com primeurs 2004

*

Appartenant au groupe CGR, ce cru possède sa propre identité, avec ses sols argilo-calcaires et son encépagement adapté faisant la part belle au merlot. D’un rouge foncé à reflets brillants, le vin évoque la fraise des bois et la vanille par son bouquet. Sa structure permettra de l’apprécier dans trois à quatre ans avec une côte de boeuf grillée sur des sarments.

Guide Hachette 2008

Médaille d’Argent Challenge international du vin Blaye 2011

Château Grivière

2003

Revues de Presse
& Médailles

*

Ronde charnue et fine, la structure se montre généreuse en sensations tanniques.

Guide Hachette 2007

87/100 Points

Belle robe d’un rouge vif, jeune et soutenu. Joli nez de fruits rouges souligné d’un boisé racé. La bouche séduit par son harmonie, sa plénitude, son équilibre. Elle met en scène de plaisants arômes fruités et épicés. Joli vin qui peut encore voir venir.

Guide Gilbert&Gaillard 2011

Médaille d’Argent Concours mondial de Bruxelles (2009)

Médaille d’Argent Vinalies China 2011

 

Château Grivière

2002

Revues de Presse
& Médailles

15.5/20 Points

Schöne würzige Aromatik, viel Konzentration und Extrakt, nicht im negativen Sinne, sondern perfekt eingebunden in herbem, kernigem Tannin, endet voller Rasse mit kaum bitterem Finale.

Vinum Avril 2005

Erfreuliche Entwicklung.

Decanter.com primeurs 2002

86/100 Points

Jolie robe soutenue d’un rouge au reflet violacé. Nez très plaisant de fruits mûrs soulignés d’un boisé grillé fin. En bouche une attaque fraîche, des tanins fondus et un fruit expressif. Un millésime mûr, harmonieux, à apprécier dès maintenant.

Guide Gilbert & Gaillard 2009

Médaille d’Or Concours des grands vins de France (Macon) 2005

Château Grivière

2001

Revues de Presse
& Médailles

Jouant sur l’apport de bois, le 2001 apparaît séducteur par son bouquet aux notes toastées et mûres. Poursuivant dans le même esprit, le palais concilie un côté rond et charnu avec une riche présence tannique. Un ensemble de bonne facture à attendre trois ou quatre ans.

Guide Hachette 2005

15,5/20 Points

Fruits noirs, sous-bois et notes de peau d’orange qui se mêlent agréablement aux arômes, bouche tendre, souple, élégante, bien fondue.

LePoint – 8 Septembre 2005

Médaille d’Or Challenge international du vin Blaye 2005

 

Château Grivière

2000

Revues de Presse
& Médailles

****

Quite hard blackcurrant fruit and scented aromas. Hugely spicy on the palate which was surprising but attractively so. Good ripe black pepper finish.

Decanter.com – Avril 2001

85-88

PointsShow good berry and green tobacco character, with medium body and dried herb, berry finish.

Wine spectator online – Avril 2001

*** (vin exceptionnel) Coup de cœur.

Son avenante robe sombre est pleine de promesses que le bouquet et le palais se chargent de tenir. Le premier fait preuve d’une belle complexité et d’une grande finesse (fruits rouges un rien chocolatés et toastés). Rond, charnu, ample et opulent, le second est riche en sensations tanniques de qualité. Sa sève et sa race appellent des noces avec quelque met de choix comme des cailles braisées sur un lit de légumes primeurs dans quelques années même si cette bouteille promet d’être déjà pleine de charme d’ici quelques mois.

J.S.

Guide Hachette sélection 2004 Septembre 2003